Dans le Nouvel Obs n° 2237 (semaine du 20 au 26 septembre 2007) page 103, rubrique Découvertes l’article suivant :
Le jeu de dames est désormais sans mystère. Depuis 1989, 200 ordinateurs ont passé à la moulinette ses 500 milliards de milliards de combinaisons. Une équipe d’informaticiens dirigée par Jonathan Schaeffer (Université d’Alberta - Canada) a mené le calcul à sa conclusion : si les deux adversaires jouent à la perfection, sans commettre la moindre erreur, ils aboutiront forcément à une partie nulle.
Reste la possibilité de jouer imparfaitement.
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